· Label international créé en 2003 par le WWF et d’autres ONG
· Deuxième standard mondial en volume de vente
· Reconnu pour son exigence et son accent sur les Objectifs de Développement Durable (ODD)
· Plus de 3 400 projets certifiés dans 106 pays pour le marché de la finance carbone volontaire
· Représentant 320 millions de teq CO2 évitées/séquestrées
· Émissions réelles : les crédits sont émis après vérification sur site, séquestration réelle (pas de ex-ante)
· Additionnalité : s’assurer que, sans le projet, les réductions d'émissions n'auraient pas été réalisées
· Indépendance : pour garantir l'intégrité des crédits carbone certifiés, le Gold Standard utilise des vérificateurs tiers indépendants pour auditer les projets et vérifier les réductions d'émissions et les co-bénéfices revendiqués
· Transparence : les informations sur les projets certifiés, les méthodologies utilisées, et les impacts des projets sont publiquement accessibles
· Unicité et Traçabilité : les crédits sont répertoriés dans un registre officiel unique et publique
· Utilisation de la méthodologie Gold Standard AFFORESTATION / REFORESTATION (A/R)
· Évaluation de la séquestration du carbone sur 20 ans dans une bambouseraie, à l’aide d’équations allométriques issues de recherches scientifiques, reliant des paramètres morphologiques comme le diamètre et le nombre de chaumes à la biomasse, et donc au carbone stocké
· L'évolution temporelle de la séquestration carbone de chaque bambouseraie est mesurée sur le terrain
tous les 5 ans après plantation, et validée par un tiers indépendant
Nombre d’hectares financés cultivés en agroécologie
La captation carbone totale d’une bambousaie se calcule sur trois réservoirs distincts : les 3 S.
- Séquestration = carbone séquestré dans les parties souterraines et aériennes vivantes de la plante.
- Stockage = carbone stocké dans les produits en bambou fabriqués à partir des récoltes.
- Substitution = émission de carbone évitée par le remplacement d’énergie ou de matériaux à forte empreinte carbone par du bambou.
En savoir plus ?
Tonnes de CO2 total capté tous réservoirs confondus
Équivalence sur la base de 1 ha de bambou = 1 000 teq CO2. L’émission de certificats carbone ne peut dépasser les 200 certificats sur cette base de 1 000 teq CO2. Impact carbone moyen d’un·e Français·e : 9 teq CO2
Émissions annuelles des français·es / an
Une bambousaie produit chaque année une matière de grande qualité, essentielle pour remplacer les matières fortement carbonées dans le secteur des biomatériaux, bioénergie, biochimie
Quantité de matière première décarbonée et renouvelable
Bioplastique composé de 30 % de fibres de bambou, densité 1,22.
Piscines olympiques remplies de plastique évitées sur 20 ans
Isolant souple 100% bambou, 1 ha = 3 000m2
Nombre de maisons isolées en fibres de bambou / an
Aidez un·e agriculteur·ice qui se diversifie (jusqu’à 7 % de revenu complémentaire).
Soutenez une filière française de biomasse locale et renouvelable.
Participez à la restauration des sols et des cycles de l’eau, à la préservation de la biodiversité, à la création de puits de carbone locaux.
Le bambou ne se limite pas à ses capacités de captation du carbone et de production de biomasse.
Il s’aligne sur plusieurs Objectifs de Développement Durable (ODD) définis par l’ONU.
D’ici 2050, il faut doubler les puits de carbone.
En moins de 30 ans, nous devons diviser par 6 les émissions de GES.
1 hectare de bambou capte jusqu'à 1 000 teqCO2, soit l'équivalent des émissions annuelles de 110 personnes, 3x plus rapidement qu’une jeune forêt.
La biomasse bambou permet de réduire les émissions de GES en remplaçant des matériaux ou énergies fortement carbonés.